Karin FISCHER (Comité de l'Orléanais)– Enseignante-chercheuse – 2^nd de liste pour le Loiret :

« Pourquoi voter aux élections régionales le 14 mars ? Parce que les enjeux de ces élections sont locaux, mais aussi nationaux et même européens ; parce qu’il ne faut pas laisser un boulevard à la droite gouvernementale pour continuer ses attaques sans précédent contre les services publics et contre la démocratie locale. Parce qu’on doit obliger les banques à prendre leurs responsabilités et à servir l’économie locale, les artisans, les commerçants, les PME et les particuliers plutôt qu’à s’en servir pour arroser leurs actionnaires. Parce que ne pas voter, c’est garder le silence et accepter la politique de la droite, c’est donc voter Sarkozy.

Les Régions peuvent devenir dès aujourd’hui des contre-pouvoirs, et contribuer à protéger les citoyens contre cette crise dont ils ne sont pas responsables. Le Front de Gauche en a la volonté, avec des propositions concrètes pour une autre conception du développement régional, solidaire, écologique et citoyenne. Pour cela, un soutien massif de votre part est indispensable. »

Bastien JONEAU (Comité du Giennois) – Assistant ressources humaines – 5^ème de liste  :

« Notre projet, porté par vos suffrages, contribuera à surmonter la crise, à maintenir les solidarités sociales et territoriales, et à reconstruire une société au service de l’intérêt général plutôt qu’à celui des intérêts privés. Il posera également les premières pierres d’une alternative aux ravages des politiques libérales menées actuellement.

Notre outil et notre motivation, c’est la puissance publique et l’intérêt général. Portez à la Région Centre une équipe qui ne se résigne pas à une politique d’accompagnement du libéralisme économique, mais qui préparera bien l’alternative afin de construire une république sociale et écologique en France. »

Sylvain KNITTEL (Comité de l'Orléanais)–  Animateur, Militant associatif – 9^ème de liste :

« Années  après  années  le monde associatif et tout particulièrement l’éducation populaire souffre du désengagement de  l'État et d’un grand nombre d’autres collectivités quand il ne s'agit de les mettre au pas.

Sur l'ensemble du territoire de notre région  plus 40 000 associations réalises un travail de terrain primordial pour l'accès à la culture et au sport, pour l'insertion professionnelle et la solidarité, la défense des droit, la protection de l'environnement, l'économie sociale et solidaire,... Créatrice de lien social et formant à une citoyenneté active cette vie associative doit être soutenue et valorisée. L'éducation populaire  comme lieu d'émancipation et de construction de soi est l'un des meilleurs outils pour construire une région « incluante »  et pour ouvrir  une démarche participative.

Nous devons en particulier favoriser la mise en place de nouveaux partenariats entre les lycées et les associations, permettre la participation des différents acteurs de l’engagement citoyen  au travers d’une   Conférence Régionale permanente de l’art, de la culture et de l’éducation populaire.

C'est d'une réelle volonté politique dont nous avons besoin pour reconstruire ce lien social que la droite attaque chaque jour, c'est d'une réelle volonté politique dont nous avons besoin pour offrir une vrai égalité des droits à tout nos citoyens, qu'ils habitent en quartier populaire, en zone rurale ou en centre ville. C'est d'une réelle volonté politique dont nous avons besoin pour rendre chacun acteur de la vie de notre région. »

Marie AGAM (Comité du Pithiverais) – Administratrice civile – 12^ème de liste  :

« La politique menée par la droite, au plan national comme au plan local remet profondément en cause ce qui constitue le « ciment » de la société, du « vivre ensemble » : dépeçage des services publics, remise en cause du système de protection sociale, des retraites, du droit à disposer d’un logement… Les propositions du Front de Gauche ont pour ambition de contribuer, à l’échelle régionale,  à ce que chacun puisse vivre dignement, dans une société apaisée. »

Alain GAMA (Comité du Montargois)– Médecin psychiatre, psychanalyste salarié, militant associatif et syndical – 15^ème de liste  :

« Parce que la santé n’est pas une marchandise, l’accès à des soins de qualité pour tous, sur l’ensemble du territoire, doit être considéré comme un droit fondamental préservé des logiques financières. La loi « Bachelot » étend les techniques de gestion de l’entreprise à l’hôpital, au mépris des missions de soins. Il est urgent et nous proposons donc de réunir des Etats généraux de la santé dans notre région. »

Cathy LAVANANT (Comité du Giennois) – Professeur de lycée professionnel, Conseillère Municipale de Briare, Militante syndicale – 18^ème de liste :

« La formation professionnelle, compétence régionale, doit assurer à tous, jeune et adultes, la meilleure insertion professionnelle possible. Elle doit être en dehors des logiques marchandes, il en va de l’avenir des salariés et de notre économie. Il faut renforcer le service public d’éducation et de formation. L’Éducation et la formation ne sont pas une charge pour la nation mais un investissement pour l’avenir. »